.
Pour les personnes atteintes de maladies graves (maladies inflammatoires, maladies dégénératives...) ou encore pour lutter contre le cancer, il est conseillé de prendre un complément alimentaire naturel avec un dosage plus important en Curcuma.
RECHERCHES MÉDICALES SUR LES EFFETS DE LA CURCUMINE
Au cours des dernières décennies, on a isolé dans les rhizomes du curcuma, des substances auxquelles on a donné le nom de curcuminoïdes (la curcumine constitue environ 95 % de ces composés). Il s'agit d'antioxydants très puissants, ce qui explique un certain nombre d’indications médicinales traditionnelles : pour le traitement des troubles inflammatoires, soulagement des douleurs, traitement de divers troubles cutanés ou ophtalmologiques, cancer, Alzheimer…
CURCUMA ET CANCER
Des chercheurs de l’Université du Texas ont démontré que l’inhibition des tumeurs semble liée à l’inhibition de l’activité de l’ornithine décarboxylase impliquée dans le cancer.
Des études, in vitro et sur des animaux, démontrent que la Curcumine possède une activité anticancéreuse qui inhibe la croissance des cellules tumorales par des moyens provoquant l’apoptose (ou mort cellulaire) des cellules cancéreuses.
D’autres études montrent que la curcumine empêche la formation de nouveaux vaisseaux sanguins par angiogénèse, privant du même coup les tumeurs de leur source d’énergie.
Utilisée en traitement préventif et curatif, la Curcumine fait régresser les cancers déjà existants (côlon, estomac, bouche, peau, sein, prostate, leucémie, foie), supprime l’effet mutagène de certaines substances (dont celles du tabac) et inhibe la formation de nitrosamine.
En plus, le curcuma prévient les changements génétiques qui peuvent survenir dans le noyau cellulaire (antimutagène).
Ainsi, sur des patients atteints de cancer de la bouche et de la peau, la curcumine a réduit, après dix-huit mois de traitement la douleur et la taille des lésions tumorales.
En inhibant la production de cytokines (molécules à l'origine du processus inflammatoire) et en inhibant l’oxyde nitrique (un composé impliqué à la fois dans l’inflammation et dans le cancer), la Curcumine freine la croissance des tumeurs cancéreuses.
Des études récentes chez l’homme montrent que l’administration de curcumine par voie orale permet une réduction marquée des molécules inflammatoires.
Cet effet est extrêmement important car pour obtenir un résultat similaire, les anti-inflammatoires de synthèse présentent des effets secondaires importants qui peuvent limiter leur utilisation pour prévenir le cancer du côlon, alors que la curcumine ne présente aucun de ces effets secondaires.
Dans deux études récentes, des chercheurs de l’Université Columbia de New York ont découvert que la Curcumine avait une forte capacité à inhiber la prolifération des cellules cancéreuses de la prostate en interférant avec l’activité des protéines de signalisation, caractéristique des processus de croissance.
Le CURCUMA est un puissant antioxydant. Il prévient la détérioration des tissus qui surviennent lors des traitements de chimiothérapie et de radiothérapie.
Car les radiations ne tuent pas seulement les cellules cancéreuses, elles augmentent également la production de produits chimiques et causent des dommages à la peau, similaires à des coups de soleil avec des rougeurs ou des cloques. Avec la chimiothérapie on détruit complètement la flore intestinale.
Or la flore intestinale est quelque chose de très important, complètement oubliée en médecine conventionnelle. Pour lutter contre cela, il faut MEGASYMBIO, des ferments bien équilibrés, avec une formule complète, pour reconstituer la flore.
CURCUMA ET ALZHEIMER
Les chercheurs de l'Université de Californie à Los Angeles ont remarqué que l'Inde a un des taux les plus faibles de la maladie d'Alzheimer dans le monde, 1% d'individus à partir de 65 ans, tandis qu'environ 10% d'américains du nord, de plus de 65 ans, développent cette maladie.
Ces chercheurs ont réalisé une expérience très intéressante. Des souris ont été génétiquement élevées pour développer la maladie d'Alzheimer puis elles furent traitées avec des doses relativement faibles de curcumine. Dans le cerveau de 50% des souris la Curcumine a permis de détruire la construction des plaques amyloïdes, caractéristiques de cette maladie, grâce à la bisdemethoxycurcumin, un ingrédient essentiel de la curcumine.
C’est un espoir fabuleux de traitement préventif et curatif de la maladie !
CURCUMA ET CHOLESTÉROL
En janvier 1997, le Journal of Molecular Cell Biochemistry confirme que la Curcumine diminue les taux de LDL (le mauvais cholestérol, celui qui se dépose dans la membrane des artères). En seulement sept jours de traitement, le cholestérol total diminuait de 11,6 % et les niveaux bénéfiques de HDL augmentaient de 29%.
CURCUMA ET THROMBOPHLÉBITE
De par son action anti-inflammatoire et en diminuant l’agrégation plaquettaire, le curcuma aide à prévenir et à soulager la thrombophlébite.
Plusieurs travaux scientifiques ont aussi démontré que la curcumine prévient les AVC (Accidents Vasculaires Cérébrales) et la formation de caillots sanguins, d’où son utilité lorsque l’usage des anti-coagulants est nécessaire.
CURCUMA ET TROUBLES DIGESTIFS
La Commission Européenne et l'Organisation mondiale de la Santé reconnaissent l'efficacité des rhizomes du curcuma pour traiter la dyspepsie, c'est à dire des troubles digestifs comme les maux d'estomac, les nausées, la perte d'appétit ou les sensations de surcharge.
ULCERES GASTRODUODENAUX.
Des études in vitro et sur des animaux indiquent que le curcuma aurait des effets protecteurs sur la muqueuse gastrique, ce qui tend à confirmer cet usage traditionnel. Au cours d'une étude, des chercheurs ont observé une régression complète des ulcères d'estomac chez 75 % des 25 sujets après 12 semaines.
CURCUMA COMME BACTÉRICIDE, FONGICIDE ET PARASITICIDE
Le curcuma inhibe la croissance de nombreuses bactéries gram positives et gram négatives, dont celles qui causent la dysenterie amibique (Entamoeba hisolytic) et d’autres, comme le Clostridium perfringens, le Sarcina, leGaffkya, les Staphylococcus, les Streptococcus, les Bacillus et plusieurs champignons pathogènes.
Il aide également lors d’infections en inhibant la production de certaines toxines bactériennes qui peuvent causer de sérieux torts à l’organisme, dont les aflatoxines, produites par les champignons qui croissent dans la nourriture mal préservée. Ainsi, bien avant l'époque des conservateurs synthétiques, le curcuma jouait un rôle primordial comme additif alimentaire.
L’idéal est d’associer les compléments alimentaires de curcumine à CITRUSFLOR et à NOFLU, si nécessaire, surtout en cas de grosse épidémie où lors de voyages à risques sanitaires élevés. Par ailleurs l’utilisation de ces 3 produits antiviraux semble prometteuse dans le traitement du VIH.
Sources:
Étude du National Center for Biotechnology Information sur la Curcumine
Définition de la Curcumine par le National Cancer Institute
Prévention du cancer avec la Curcumine - US National Library of Medicine / National Institutes of Health
Thèse de Hombourger Christelle - Diplôme d'état de docteur en pharmacie - Université Henri Poincare - Nancy 1